Examiner Sutton Allencontributeur invité
La rue à Gagosien980 Madison Ave. Vers le 18 décembre.
Il y a un éloge vers le 980 Madison Ave, entre la 76e et la 77e rue. Gagosian devrait fermer définitivement les portes de son emplacement de Madison Avenue dans les prochains mois, et La rue est un excellent envoi. Conçu à l’origine pour le Musée d’Orsay, le peintre devenu commissaire Peter Doig a réuni des peintres à travers le temps et les géographies pour explorer le paysage urbain.
Doig, le peintre d’Édimbourg de renommée internationale, a établi des records de vente aux enchères et a été créé dans les grandes collections depuis des décennies, prend son titre, La ruede la Pièce de Résistance dans le spectacle, peinture de Balthus en 1933. Ce premier travail du maître français est un triomphe et, bien que détenu par le MoMA, n’est pas exposé depuis 2000. Doig repositionne correctement cette peinture, prenant ses implications comme une entreprise de conservation unique.

Balthus (Baltusz Klossowski de Rola) La rue1933. Collection du MoMA (https://www.moma.org/collection/works/80582)
Possé à gauche de Balthus est Frank Auerbach (1931-2024) Ribaud de 1976, prêté par la Tate. Auerbach, le peintre prééminent de l’école de Londres, est décédé dans les dix jours suivant l’ouverture de Gagosian. Le tableau est désormais doublement un spectre obsédant, car il représente une effigie du poète du XIXe siècle, une scène qu’Auerbach a été scrutinment observée dans les rues de Londres. C’est une image difficile, comme tous les Auerbach. La peinture est jaillie avec des lignes férocement collées ici et là. Rimbaud lui-même est comme un mème dans un monde de peinture visqueuse.
En plus La rue à droite se trouve une marque précoce et inhabituelle Rothko, Sans titre1936. Cette image ne prédit pas ses peintures de champ de couleurs héroïques tardives. Nous voyons plutôt un jeune artiste regarder dans les rues de la ville, essayant de mettre dans la conception de son monde visuel. Le paysage urbain est traité dans des passages plats et tonaux. Il y a ce qui ressemble à une ligne surélevée, à une statue au premier plan et, incontestablement, à la lune au-dessus de la lune. Ici, comme le suggère la prémisse de l’exposition, nous voyons l’expérience urbaine vécue par trois peintres vitaux à Paris, à Londres et à New York.
Ces trois images sont essentielles au spectacle: les peintres urbains apportent de nouvelles observations dans leur monde et se livrent aux préférences esthétiques d’un peintre consécutif. Être réintroduit de De Chirico, Hélion et Francis Bacon. Ou découvrez Prunella Clough (comme moi), Satoshi Kojima ou Lotte Maiwald. Kojima (née 1979) et Maiwald (nés 1988) sont actifs à Düsseldorf où Doig a enseigné.
Parmi les nombreuses relations à découvrir ici, l’un d’un intérêt particulier est Max Beckman, représenté par deux peintures, et Denzil Forrester (né en 1956). Beckmann Studio de cinéma1933, prêté par Saint-Louis, représente l’intérieur sombre et bondé du monde naissant du cinéma. Ses divisions déchiquetées et ses espaces cryptiques parlent de Forrester Hommage à Winston Rose1982. Ici, nous voyons un intérieur dense et obscur avec des vues de la ville au-delà. Ce sont des œuvres de deux artistes que nous ne reverrons plus ensemble, alors profitez du dialogue.
Doig a réuni des œuvres importantes des collections publiques qui ne seraient pas placées ensemble sans son nouveau œil. Voir le spectacle: Wonder Over Auerbach, être perplexe par De Chirico, assiégé par Bacon, et charmé par Doig lui-même; En effet, il a organisé deux de ses propres peintures dans l’exposition. Hélas, des nombreuses tentatives téméraires pour assimiler l’art du début et du milieu du 20e siècle avec l’art de notre temps, La rue s’élève au-dessus du cliquetis.