La toiture est un travail exigeant. De longues journées sur le toit, des délais constants, une tension physique et la pression pour fonctionner – tout s’additionne. La plupart du temps, l’accent est mis sur le prochain projet ou à faire le travail correctement. Mais sous la surface, trop dans notre métier porte un poids différent. Ce n’est pas seulement le travail de la fatigue; C’est la solitude, le stress, la fierté. L’état d’esprit «dur-it-out» est trop courant, mais rester silencieux peut coûter une vie.
La Semaine de prévention du suicide (8-12 septembre de cette année) n’est pas seulement une date sur le calendrier. C’est un rappel que l’industrie de la construction, et la toiture en particulier, sont confrontées à une crise que nous devons reconnaître de front.
Les nombres durs
- Les travailleurs de la construction meurent par suicide à un rythme Près de quatre fois plus élevé que la population générale.
- En 2022 seulement, plus de 6 000 travailleurs de la construction ont perdu la vie à cause du suicide – Un nombre qui dépasse de loin les décès par accidents du site d’emploi.
- Parmi les couvreurs, le suicide est souvent lié à douleur chronique, abus de substance et isolement socialfaire de ce commerce l’un des plus à risque.
Ce ne sont pas seulement des statistiques. Ils représentent des collègues, des amis et des membres de la famille qui devraient être toujours là.
Qu’est-ce qui fait de la toiture une zone à haut risque?
- Isolement en hauteur
Votre journée de travail vous met souvent physiquement seule – sur les hauts toits, loin des bavardages, avec uniquement votre travail pour l’entreprise. Ce silence peut faire écho, en particulier les jours difficiles. - Stress chronique
Les horaires impitoyables, les retards météorologiques et les clients durs accumulent la pression. Lorsque votre gagne-pain est en jeu, le poids devient lourd. - Pression culturelle
En toiture, admettre que vous avez des difficultés ressemble parfois à une faiblesse. Ce mur de silence devient plus grand parce que personne ne veut avoir l’air vulnérable.
Ce ne sont pas seulement des risques théoriques – ce sont des réalités vécues par beaucoup chaque jour.
Ce que tu peux faire Tout de suite
- Vérifier (et le signifier)
Sur le toit ou hors, demandez aux collègues comment ils vont, au-delà du travail. Un simple « Comment tirez-vous le coup? » peut commencer une conversation qui compte. - Apportez-le dans les pourparlers de sécurité
Les discussions sur la boîte à outils sont généralement des dangers physiques. Cette semaine, réservez quelques minutes pour la santé mentale. La normalisation de la conversation permet à quelqu’un de parler plus facilement lorsqu’il en a besoin. -
Conduire par l’exemple
Les superviseurs, les contremaîtres et les chefs d’équipage ont une influence. Partager vos propres difficultés, ou simplement montrer qu’il est normal de parler de la santé mentale, peut donner le ton à toute l’équipe.
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Établir des connexions d’équipage
Restez connecté avec des collègues, même hors du toit. Prenez un café, envoyez un SMS ou enregistrez-vous après les heures. Un petit geste peut signifier plus que vous ne le pensez.
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N’ayez pas peur de tendre la main
Il faut du courage sérieux pour dire « Je ne vais pas bien. » Si vous êtes dans un endroit difficile et que vous avez besoin d’aide, il y a toujours quelqu’un qui écoutera. Si vous ne vous sentez pas à l’aise de parler aux gens de votre équipage, contactez un membre de la famille, un ami, un mentor ou une ligne d’assistance. Tu n’es pas seul.
- Connaître les ressources
Pour les chefs d’entreprise et les gestionnaires
Les propriétaires, les chefs de projet et les chefs d’entreprise jouent un rôle essentiel dans la prévention du suicide. Voici quelques étapes que vous pouvez prendre pour protéger et soutenir vos équipes:
- Promouvoir la sensibilisation: Utilisez des affiches, des e-mails et des discussions sur les boîtes à outils pendant la Semaine de prévention du suicide pour vous assurer que chaque travailleur sait que le soutien est disponible.
- Offrir une formation: Fournissez des contremans et des superviseurs une formation de CIASP ou OSHA afin qu’ils puissent reconnaître les signes d’avertissement et répondre de manière appropriée.
- Examen des politiques: Assurez-vous que les politiques de votre entreprise encouragent le congé pour la santé mentale et offrent un accès clair aux programmes d’aide aux employés (EAP) ou aux ressources locales.
- Plomb avec transparence: Lorsque le leadership normalise les discussions sur la santé mentale, elle réduit la stigmatisation et renforce la confiance à travers l’équipage.
- Suivi: Si vous savez que quelqu’un a eu du mal, un appel simple ou un SMS après les heures peut grandement contribuer à montrer qu’ils comptent au-delà du chantier.
Lorsque les dirigeants prennent la santé mentale au sérieux, cela donne le ton à toute l’entreprise et aide à créer une culture où les travailleurs se sentent en sécurité pour parler avant qu’il ne soit trop tard.
Se rechercher les uns les autres
La sécurité physique s’est affinée au fil des ans – protection contre les chutes, harnais, pourparlers à outils. La santé mentale mérite le même engagement.
Cette semaine de prévention du suicide, engageons-nous à chercher plus que des glissades et des chutes; Voyons les personnes à côté des personnes à côté de tous les jours.
Tu n’es pas seul. Et personne d’autre n’est sur votre équipage.
Qui sommes-nous?
Castagra est un fabricant de revêtement de toit dédié à l’offre durable et Solutions de revêtement haute performance. En savoir plus sur nos produits ici, ou contactez notre équipe aujourd’hui pour en savoir plus sur la façon dont nous pouvons vous aider!
